Réouverture des soumissions pour publications numériques
Bonjour,
Le confinement et la baisse d’activité autour du livre, ces deux derniers mois, auront été propices à quelques réflexions.
L’incertitude quant à l’avenir (et le fonctionnement) des salons et dédicaces en librairies dans les temps futurs, et le véritablement frémissement des ventes de livres numériques, mes contraintes personnelles et économiques, mes capacités, mes envies ont conduit à ce qui suit.
Sont réouvertes les soumissions de textes, UNIQUEMENT en vue d’une PUBLICATION NUMERIQUE, avec quelques petites exceptions cependant pour les romans.
Les lignes générales restent les mêmes :
– SF
– Fantasy
– Fantastique/Terreur
– Polar/Thriller
Concernant les romans, 2 options :
– Publication uniquement en numérique (contrat d’édition)
– Publication en version papier si coup de coeur éditorial (contrat d’édition)
***
Lancement d’une collection numérique qu’on pourrait pompeusement qualifier d’anthologie dispersée.
Cela concerne des textes courts entre 10000 et 20000 mots (oui, je parle en mots). Contrat d’édition.
Les thématiques seront les suivantes pour commencer :
– IA
– Divinités
– Voyages dans le temps
– Monstres marins
– Sorcellerie
– Mondes étranges
Comme il était l’usage au siècle dernier dans certaines séries, les couvertures seront standards et propres à chaque thématique.
Et qui sait, peut-être un regroupement en un ouvrage unique, mais pour ça, il y a le temps…
Quelques précisions :
– Texte à envoyer en .docx (ou .doc), avec résumé et/ou synopsis, sur : rroyzz.manuscrits@gmail.com (préciser dans l’objet la thématique si texte court)
– Texte ayant déjà vécu une bonne correction ortho/syntaxico/grammaticale afin qu’il soit le plus propre possible.
– Les versions numériques seront distribuées via Immatériel sur toutes les grandes plateformes dédiées aux livres numériques (format epub et kindle).
– Les versions papier seront toujours imprimées en France. C’est un poil plus cher que dans les contrées de l’est, mais si on veut défendre les petits auteurs, les petits libraires, les petits éditeurs, alors il faut aussi défendre les petits imprimeurs français capables de faire de courts tirages. Il faut être cohérent et ne pas raisonner qu’en marge.
Je suis conscient de certaines lacunes actuellement, mais d’autres efforts vont être portés sur la communication de ce nouveau support numérique.
Alors à vos claviers.
Il me tarde de découvrir les fruits de votre imagination.
A bientôt et n’hésitez pas à partager. Merci.
Rappel :
Envois : rroyzz.manuscrits@gmail.com
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